The very incredible story...3 [21/01/09]

 

 

Voici donc la suite d'hier qui vient avant la suite de demain... j'aime l'ordre !

 

 

Donc y caille, le reuri couine, Debby est au plus bas (par paire sinon c'est collant), le vétérinaire s'en fout, et le facteur ne donne toujours pas signe de vie (ce qui est logique puisqu'il ne sait pas quel drame se joue dans l'ombre... Remarquez, quand je dis dans l'ombre, c'est une métaphore propre à favoriser le suspens de cette histoire car le quartier où se trouve Deborah en se moment est plutôt bien éclairé la nuit et en plus, là il fait jour...)

 

  Elle se dirige d'un pas las (prononcer PALACE) à un autre, en cherchant secours et compréhension, mais devant la gueuse, portes et fenêtres se ferme, et on la montrerai du doigt si ce n'était dangereux de la faire en fermant sa porte (ceux qui se sont déjà coincé le doigt dans une porte comprendront bien la méfiance de ces accusateurs).

 

V'la la Debby au bord de la crise de nerf, son reuri couinneur sous le bras qui cherche le secours telle l'âme en peine qui peine. Elle croise sur son chemin quatre jeunes et beaux garçons (chorus) quatre jeunes et beaux garçons.

 

Le premier un peu timide lui dit en ces mots :

 

KEKSEDONKTALAJEUNEGEUSE (qu'avez vous donc ici ô accorte passante)

Hééé (répondi l'interpellée qui n'entravait rien à un langage parlé aussi mal écrit)

 

Le deuxième un peu moins sage traduisit ce que disait le premier (voir plus haut)

Et elle de répondre "Ah ben c'est un reuri !"

 

Le troisième encore moins sage lui demanda ce qu'est un reuri

 

Elle dit alors : "ben t'avais qu'a lire les épisodes précédents"

 

Ce que dit le quatrième n'a vraiment aucun interêt et je passe donc à la suite de cette histoire presque palpitante mais pas trop quand même.

 

Elle continu donc son chemin, sans but (0 à 0 match nul au Parc), quand elle voit une cabane de trappeur (oui, je sais, elle a marché longtemps, mais comme c'était pas très interressant j'ai un peu coupé).

 

Comme il neige (dans l'histoire couillon ! ne regarde pas la fenêtre avec cet air benet !) elle se dit dans son chateau fort intérieur deux point ouvrez les guillemets

 

A ben tiens je me mettrai bien à l'abri dans cette cabanedetrappeurlà point d'exclamation fermez les guillemets

 

Et elle y va et est accueillie devinez par qui ?!!!!

 

Par qui ????

Parqui ????

 

Non, pas par ODIN ! c’est trop simple…

Qui a dit Par Thouze ?

Le guignol au fond là… Tu sors…… Et tu claques pas la

VLAN !!!!

Porte….

 

J’en étais où ?

Oui, je reprends

 

Je vois que vous ne devinez pas et donc je ne vais pas pouvoir compter sur vous pour m'aider!!!

 

Elle rencontre zorro, ou batman, ou un trappeur (tiens c'est pas con ça un trappeur puisque c'est une cabane de trappeur, l'histoire devient cohérente, et l'action rebondie !

Même si ça rebondi mal dans la neige, mais c'est pas grave)

 

Le trappeur : bonjour

 

Debby : bonjour

 

Le trappeur : fais pas chaud hein !

 

Debby : ben non

 

le trappeur : et à part ça

 

debby : à part ça ça va

 

l'auteur : vous pourriez pas essayer de dire des trucs plus palpitants non ?!!!!!

 

le trappeur : ha bonjour monsieur l'auteur, je peux avoir un autographe

 

debby : et moi, et moi, je peux savoir comment ça fini votre histoire

 

l'auteur : VOS GUEULES!!!!!, on reprend...

 

Le trappeur : bonjour

 

Debby : bonjour

 

L'auteur : ya des jours où je me sens fatigué moi

 

Le reuri : couine !

 

l'auteur : Ha ben j'l'avais oublié celui là

 

le trappeur : ho un castor !

 

debby : lachez ce fusil monsieur ça pourrait être dangereux

 

l'auteur : tous à terre !!!

 

le trappeur : bang bang ratatatatatatatatta boum (qu'il fait avec sa bouche parce qu'il tire avec un silencieux mais qu'il aime bien quand même le bruit que ça fait quand il tire)

 

Debby : argh je suis touchée !!!

 

Le reuri : couine couine kaÏ kaï !

 

L'auteur : lache moi pétasse !

 

Description de la scène pour ceux qui n'ont pas l'image :

 

Debby est au sol sur l'auteur, elle a été projettée sur lui par le souffle de l'arme, cela explique pourquoi l'auteur s'exprime en typo plus petite, puisque subittement il a de la neige plein la tronche et l'héroïne* sur la gueule. Le reuri, sentant la poudre* et les embrouilles, a jailli des bras de debby et c'est perché dans un arbre. Le trappeur est le cul dans la neige à cause du recul (merci à tous de ne pas avoir bougé pendant que je décrivais, repos vous pouvez fumer)

(pour les amoureux de la litérature moderne, notez l'allitération en "cul" dans la dernière phrase)

 

(*sans commentaires)

 

Si c’est pas clair, reportez-vous au schéma ci après (ci après n’est pas le nom du schéma puisque le schéma s’appelle Gérard, ça veux dire que le schéma est juste après la fermeture de la parenthèse ; de parent : qui s’occupe des enfants et de thérèse : qui rigole quand on….)

 

 

 

Le premier debout est ... le reuri puisqu'il était déjà debout

Puis dans l'ordre debby, le trappeur et enfin l'auteur qui lui a été gêné monsieur l'arbitre

 

Debby : mais non c'est pas un castor, c'est un reuri !

 

L'auteur : je croyais que tu étais touché toi ! (Notons qu'il a retiré la neige puisqu'il s'exprime a nouveau en typo normale !)

 

Debby : ben non en fait c'étais vot main... j'avais cru...

 

L’auteur : c'étais pas ma main

 

debby : ha bon ? C’était quoi ?

 

Le trappeur : est-ce que peux en placer une ?!

 

debby : attend, j'ai le droit de savoir (TF1 trademark) !

 

l'auteur : c'étais ça !!!! (Ouvrant grande sa canadienne et exhibant un pénis démesuré au regard de Debby, du trappeur; du reuri, de la cabane et de la température ambiante...)

 

le trappeur : mais je te reconnais ! Tu es le quatrième garçon de la chanson que normalement la chanson ne dit pas ce qu'il fait!!!

 

l'auteur 4ème garçon démasqué : oui, j'avoue, j'en avais marre qu'on ne dise jamais ce que je faisais alors j'ai suivi debby jusqu'ici pour qu'enfin mes actions soient révélées à la face du monde

 

debby : dis donc, elles sont en baisse tes actions

 

l'auteur 4ème garçon démasqué : c'est le froid

 

le trappeur : et si on allait s'en jetter un à l'intérieur !!!

 

Le reuri : super parce que j'ai soif

 

debby  : !!!

 

l'auteur 4ème garçon démasqué : !!!

 

le trappeur : je savais pas que ça parlai un reuri

 

les autres : ben nous non plus

 

le reuri : c'est à cause du froid, ça m'a soudainenment tirliburé les sycolop ! et puis peut être aussi un peu la trouille quand l'autre il a commencé à dégommé tout ce qui bouge !

 

Alors la ils sont tous épaté parce que comme vous amis lecteurs, et comme moi avant la ligne

 

"Le reuri : super parce que j'ai soif"

 

ils ne savais pas que le reuri il cause, et même qu'il cause français (indépendemment du fait que le trappeur est québecquois quoi que pour lui ce soit normal)

 

(pour les amoureux de la litérature moderne, notez l'allitération en "quoi" dans la dernière phrase)

 

tap tap tap tap tap

 

Nous retrouvons nos héros à l'intérieur de la cabane en rondin près d'un feu de bois avec une chopine et un capot pour le trappeur parce qu'il a un jeu d'enfer, qu'il joue avec le reuri qui triche et que Debby ne sait pas jouer à la belotte qu'elle confond avec la marelle (d'où le tap tap tap tap plus haut)

 

D'aucun penseraient que sa pourrait enerver le 4ème garçon démasqué !!!

 

Que nenni, puisqu'à chaque saut primesautier et dandinnant la Debby fait voler autour de sa culotte en coton sont kilt 65% coton 30% viscose et 5% de trucs qu'il yen a tellement pas beaucoup que c'est pas la peine d'en parler

 

(notez comment avec un peu de sexe on relance avantageusement l'action)

 

Laissons les finir leur partie de belotte et laissons planer sur cette aventure un parfum de mystère, de neige, de trappeur pas très propre....     

 

 

La suite demain ... peut être !     



21/01/2009
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